AMIS LECTEURS ECRIVEZ VOUS ?

Pas mal de gens aiment lire mais y a t'il ici de jeunes auteurs ?
Alors Poemes ou extrait de romans,
montrez nous ici votre talent !

Un besoin d'avaler,
Encore et toujours plus ingérer,
Augmentant toujours ces putains de quantités,
Pour pouvoir finalement tout recracher...

C'est totalement con, mais c'est comme ca,
Un bonbon, des pates, un simple morceau de chocolat,
Le bonheur m'envahit pendant quelques secondes,
Jusqu'à me faire souffrir me traversant tel une fronde.

Mon coeur bat, son rythme s'accelère,
Tout en continuant, les rejets prolifèrent,
Mon coeur bat, Mon coeur accelèrent,
Mais un jour on me retrouvera à terre...


Texte de moi pris sur mon blog ^^
Ya mieux, mais bon, ce n'est que de moi

A LA DOUCHE


Cour,cour petit polisson !
Tu n'echaperas pas à ta punition
Si tu fait trop le malin
je te creverais comme un chien
Tu as raison d'avoir peur
il va t'arriver malheur
On va te laver
On va te gazer

Tu n'es pas blondinet
Tu n'est pas comme nous
Ce soir tu nous disparait
Il ne resteras plus que nous

Tombe, tombe petit morpion !
Tu vas en baver comme ton tonton
Il ne fallait pas avoir la betise
de naitre comme tu es
Allons ne soit pas triste
c'est pour le bien de notre humanité
On va te laver
On va te gazer

Tu n'es pas blondinet
Tu n'est pas comme nous
Ce soir tu nous disparait
Il ne resteras plus que nous


REBBECA

Les pieds nus tu t'avance vers moi
Le corps pur et dénué je vois
La peau fragile au goût de lait croit moi
De ton dos coule de l'eau du bain

Petite reine le temps défile
Magicienne tu apparais invisible
Disparaissant d'un clignement de cil
Sorcière tu brûleras si possible

Je t'aime mon diable
Mais ne te béni pas
Embrasse-moi lady
Même innocente tu périras

Le teint blanc dédouble-toi
Tes seins me font mieux voir
Qu'au bout de nos vies il n'y a pas
D'être supérieur qui est tellement maladroit
qu'il a pas fait gaffe qu'en nous foutant là
Ce serait la terre qui nous supporteras

Ouvre les fenêtres de ton âme
Et, sans sagesse je te dévoile

Je t'aime mon diable
Mais ne te béni pas
Embrasse-moi lady
Même innocente tu périras

j'attrape ton cœur, et là
Tu vas pleurer et moi c'est mon devoir
Créatrice de mon bonheur
Puis fondatrice de mon malheur
Tu l'inauguras en disparaissant

Une force soudaine dans ton innocence
Enchante mon chagrin en effervescence
Je refuse ta mort et n'ai pas tord
Attrape ma main et avec tes dons
Sort nous de là

Je t'aime mon diable
Mais ne te béni pas
Embrasse-moi lady
Même innocent

J'écrivai....

J'ai écrit ca une fois assis sur un banc dans mon lycée

Enfance

Un simple souvenir, pour ce qui est finit
Un parfum de désir, pour ne pas que j'oubli
En flottant dans le vent, des sourires eternel
Le rire d'un enfant, qui n'ose ouvrir ses ailes

Et quand s'ouvrent les roses, d'un jardin oublié
Un avenir morose, qu'on en saurait changer
Les sentiments perdus, la mémoire qui s'efface
Un rire qui est vendu, un plaisir qui se lasse

Pas de larmes, pas de cris, un regard de pitié
Un malheur qu'on oubli, une musique répétée
Pour un tour de manège, il réclamerait tant

Tout ca pour un sourire, il n'y a qu'une fin
Et il faut bien le dire, il cache dans ses mains
Une innocence espiègle, ternie avec les ans

bravo a liline et a morphine pour leurs bon poemes

Et bravo a toi, c'est tres joli ^^, enfin joli.... bien ecrit quoi ^^

nan jdis pas que c'est pas joli !!! arf je m'embrouille !!!
BRAVo voila c'est tout ^^

Mdr


le plus simple est de dire

que c'est laid :p

Mon Héroïne des abîmes,
Relance moi, rejoue sur moi.
Où es-tu ?
Ta gorge chaude m’anime,
Tes gestes tout contre moi.
Où es-tu?

Je ne suis qu’une Alice,
Perdu dans son pays des merveilles.
Je ne suis qu’un vice,
Issu de ce monde sans pareil.

Sentimentalement passable,
Affectueusement périssable,
Tel est mon intellect cauchemardesque.
Personnellement instable,
Potentiellement dommageable,
Tel est mon intellect cauchemardesque.

Je ne suis qu’une Alice,
Perdu dans son pays des merveilles.
Je ne suis qu’un vice,
Issu de ce monde sans pareil.

Création mentale,
Mécanique psychique favorable,
Mon univers est à nouveau sur pieds.
Noirceur originale,
Blancheur cordiale,
Mon univers est à nouveau sur pieds.

Je ne suis qu’une Alice,
Perdu dans son pays des merveilles.
Je ne suis qu’un vice,
Issu de ce monde sans pareil.

MU[/center]

L'envie se fait sentir, la vie va s'enfuir,
Seuls maîtres de nos existences,
Notre cœur ténébreux ne fait que nous obéir.
La montée de la violence est une chance.

Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et plaisir.

La noirceur de nos âmes,
Témoin de notre déchéance,
Triste, nos veines sous la lame.
La montée de la violence est une chance.

Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et plaisir.

Notre devenir est bien sombre,
Votre avenir n'est qu'arrogance,
La croix sera votre ombre.
La montée de la violence est une chance.

Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et désir.
Le 6, sexe et plaisir.

La montée de la violence est une chance.

MU

Attention, attention, le mental va se fissurer,
La folie me désarmé, me démembré.
Comment l'éviter ? Crever.
La conscience s'est envolée,
La mort s'est installée.
Mon âme déterrée va exploser.
La démence comme seule amitié,
Une alliée pour l'éternité.

C'est une folie passagère, j'en suis le seul passager.

Le voyage sera bientôt achevé,
La sanction va tomber.
Résultat, exécuté.
Plus de temps pour espérer,
Le modèle est périmer.
Ce n'était qu'un raté,
Dépravé, pas d'utilité.
Seule issue, broyer.

C'est une folie passagère, j'en suis le seul passager.

MU

Ma tête implose, elle se décompose,
L'esprit fuit, ce souvenir s'efface.
La compréhension à l'eau de rose,
Me dépasse, passe et me lasse.

Les autres sont inconnus,
Ma pensée leur est inaccessible,
Les autres sont dépourvus
De ce sentiment invisible.

Je ne vous demande rien,
Je me hais tout autant que vous me haïssez,
Vous ne me demandez rien,
Vous m'aimez tout autant que je vous ai aimé.

Mon état mental s'expose,
Je ne suis qu'une interface.
La sonde psychique s'impose,
Je ne suis qu'une menace.

Je vous ai mordu,
Votre plaie est putrescible,
Je vous ai reconnu,
Votre visage divisible.

Mes veines amputées d'un va et vient,
Comment comprendre sans y passer ?
Mon âme broyée d'un coup de main,
Comment comprendre sans y passer ?

MU

La nuit tombe, l'obscurité l'envahie,
Il sort, ère, la pluie ruisselle sur le sol.
Les gens ont peur, les gens rient,
Mais il ère, seul, dans ce noir qui le colle.

Sa vie ne tient qu'à un fil,
Telle une marionnette décapitée.
Sa peau délicate scintille,
La lumière solaire l'a brûler.

Il ère, dans la nuit,
Seul réfuge, la mort.
Elle l'a déjà pris depuis
Longtemps mais à tord.

Le sang, mets onctueux,
Rare et envoutant.
Ce rouge noir ténébreux
Coule le long de sa gorge lentement.

Une victime pour sa survie,
Son existence.
Une victime dans son esprit,
Sa conscience.

MU

Ultime finalité, Amour inachevé,
Sentiments inavoués ou rejetés,
Petite Mort sera la fin.
Je t'aime Mon Amour, et
Malgré ce dénouement raté,
Petite Mort sera ma fin.
Sang sur mes mains, émerveillé,
L'esprit flottant, éparpillé,
Petite Mort prendra ma main.
Cerveau écervelé,
Corps démembré,
Petite Mort deviendra mon destin.

MU

Jour morose, amour pour une rose,

Délicate et voluptueuse,

Généreuse, en osmose

Dans son univers aux âmes ténébreuses.

Envoûtante, piquante et agaçante,

De ton cœur coule ce liquide écarlate,

De ta robe s'échappe les nuances qui me hante.

Mon corps devant toi se dérobe à la hâte,

Te délaissant, seule, moribonde.

Pardonnez, mon amour, cet esprit noirâtre

MU

Petit cœur tendre, petit esprit,

Mon grotesque te fait fuir,

Ce burlesque qui t'ennuis,

Ma paresse comme plaisir.

Petit pleur sans âme ici,

Majestueuse tristesse se fait nourrir,

Assoiffée de ce mal être pourri,

Sanguinolent, me fait mourir.

Mon intérieur ne luit,

Mon extérieur sans sourire,

Cet auto-démon me suit,

Cette auto-destruction fait rire.

Accepte moi je t'en supplie

MU

2) Schisme

mon amant ses ailes à ton dos te vont si bien,
Saint Pierre t'as laissé empoigner la clée des cieux.
Ma douce, Satan jouit à abîmer tes yeux,
Mais j'ai si mal de te savoir à jamais loin.

Deux humains cachés cherchaient à se sentir sains,
Son promis gardait contre son coeur son destin,
Quelques fois entre les barreaux ils s'embrassaient,
Leurs insomnies n'étaient pas faites pour durer.

Leurs deux coeurs fânés s'élancent vers l'éternel,
Si elle avait su que Diable la désirait,
Il ne s'était pas douté que Dieu l'attendait,
Meurtri et déchu, entendra-t-il tes appels ?..



petit visage faim

Parle moi petit garçon
D'ou viens tu comme ça ?
Comment est tu arrivé là ?
Ton visage me donne des frissons
Tu parais venir d'ailleurs
Et tes traits me font peur
Tu reflète le malheur

Un visage fin pour la faim mondiale
Tu ne souri guère devant la guerre
Qui serais content devant un bombardement ?
Pas ce petit bonhomme

Tu est cette métaphore parfaite de l'horreur
Tu reflète ces malades qui dirigent nos têtes
Ces gens inconscient qui contrôlent les têtes nucléaires
Boum ! ta maison est en pleur
Boum le sol de ton village plein de molaires
Et tu n'a plus que pour amis des chairs mortes

Un visage fin pour la faim mondiale
Tu ne souri guère devant la guerre
Qui serais content devant un bombardement ?
Pas ce petit bonhomme

Des visages comme le siens
On a pas envie de les regarder
Il n'y a que les yeux a détourner
Comme fuir une merde de chien
Mais un peu de courage affrontez ça face
Et évitez les grimaces


Un visage fin pour la faim mondiale
Tu ne souri guère devant la guerre
Qui serais content devant un bombardement ?
Pas ce petit bonhomme

Pourquoi tu ne dit rien kid ?
Vien avec moi on va arranger tout ça
Tu t'y retrouvera vite
Et tant mieux pour toi
Ne te fait quand même pas d'illusions
Ton destin n'est que désolation
Ne t'en fait pas petit garçon
Ferme les yeux fait de beau rêves
Monsieur USA va s'occuper de toi

Un visage fin pour la faim mondiale
Tu ne souri guère devant la guerre
Qui serais content devant un bombardement ?
Pas ce petit bonhomme

Mon paradis c'est toi

Par-delà ce terrain
Aussi loin que je le crains
Mon paradis loge ici
Mon cœur l'a ressenti
Un monde meilleur garanti
Si notre union prend vie
L'enjeu se détaille
L'aveu m'assaille
L'échine romantique
Est d'une délicatesse caustique
Presque antipathique

Peut-être que le lyrique, je l'hallucine
Ou bien les sentiments m'assassinent
Mais je suis formel, tu me donne des ailes
Je suis franc face a mes sentiments
Si toi tu ne l'es pas, qu'adviendra-t-il de moi ?

Malgré tout, d'après vous
Notre amour ne vaux pas trois sous
Mais retenez tous que la roue tourne
Je m'élève, me relève jusqua toi
Le paradis est en vue
Personne n'y croyait plus
Mon bonheur absolu n'étai pas perdu
Maintenant au prés de toi
Il n'y a plus aucune loi
Je suis a toi, tu es pour moi
Et juste nous seul pour y croire
Deux êtres pour savoir
Et quand la lumière est éteinte, dans ce noir
Ils s'enlacent sans le pouvoir
De s'arrêter pour souffler
Ou de sentir l'âme s'extasier à l'infini

Peut-être que le lyrique je l'hallucine
Ou bien les sentiments m'assassinent
Mais je suis formel, tu me donne des ailes
Je suis franc face à mes sentiments
Si toi tu ne l'es pas, qu'adviendra-t-il de moi ?

La peur de l'inconnu
Te mis au dépourvu
Afin de te laisser un peu perdu
Parmis nos corps mis a nu
Ceux-ci sans décors
S'en foutent bien de dehors
Se faire l'amour sans accords
Se sentir faire l'effort
Caresser la chair sans mort
La vie inonde le coït
Nos cris annonce que l'on jouit
Oui je t'aime, je te chéris
Bien plus que l'on l'a décri
Si on m'enlève mon paradis
C'est là que je n'aurai plus de vie
ou de sens pour la vivre...

Peut-être que le lyrique je l'hallucine
Ou bien les sentiments m'assassinent
Mais je suis formel, tu me donne des ailes
Je suis franc face à mes sentiments
Si toi tu ne l'es pas,
qu'adviendra-t-il de moi ?
qu'adviendra-t-il de moi ...


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PS : molag a comme quit dirais du talent, Je vous conseil de lire ses chansons ^^




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moi...
...là je pensai m'ecrouler sous l'envie
J'attend ton appel qui revel nos ennuis
ton charisme m'incite a l'illicite
au desastre des astres, ma nebuleuse est meurtrie
je decolle et je m'envole vers ce champ d'etoiles
absorbé par une beatitude spectrale
On est homogene alors on gene et on dechaine

TU EST MON ENTITE DE CRISTAL
NOTRE AMOUR EST FONDAMENTAL
ET NOS LIAISONS COVALENTES IDEALES
A UN DEGRES DECIMAL

Les grandeurs du passé élaboré
on vu nos deux etres se distiller
je te carresse tes endroits desireux
seulement c'est de cette lune que je le veux
tu ne peut t'embarquer sur ma voie
je reviendrais je l'espere, je le crois
vivre au delà des nuages est si bon
mais vivre là sans toi c'est immonde

TU EST MON ENTITE DE CRISTAL
NOTRE AMOUR EST FONDAMENTAL
ET NOS LIAISONS COVALENTES IDEALES
A UN DEGRES DECIMAL

et je reve ton corps, ton etoile qui m'assaille
je creve sous les pensées de ton buste, ma muse
je releve ma folie, c'est trop dur je t'assure
je cri quand je decri tes cheveux si soyeux
et enfin j'ai la faim qui depein de ton parfum

TU EST MON ENTITE DE CRISTAL
NOTRE AMOUR EST SPECIAL
LES LIAISONS COVALENTES INSTABLES
VONT CASSER, CA VA FAIRE MAL

Tourne ô ma belle

Nous ne prendrons plus les mêmes chemins
Ton corps serré contre le mien
Deux larmes sur un champ de bataille
Tes bras m'entourent, je ne sens rien...

Tourne, tourne, ô ma belle
Des nuits vêtues de flammes
Toi,moi,nous sommes des ombres
Tourne,tourne, ô ma belle

Est-ce vrai? Est-ce faux? Est-ce d'avoir trop rêvé...
Ton coeur serré contre le mien, ou es-tu?
Qu'en dis-tu, toi, qui dors à l'aube de ton premier moment d'instantané...
Est-ce vrai? Est-ce faux? Est-ce d'avoir trop rêvé...

La tête lourde, le corps s'endort en vain
Tu n'es plus là
Une main sur une main qui ne veut plus rien dire
C'est si loin là-bas

Nous ne prendrons plus les mêmes chemins
Ton corps serré contre le mien
Deux larmes sur un champ de bataille
Tes bras m'entourent, je ne sens rien...

Attachée


Seule entre quatre murs
Et toutes ces écritures
Qui me narguent tout le temps
Je rêve infiniment

Belle mais sans air pur
Je revois toutes ces figures
Qui me parle sans me voir
Qui me touche sans y croire

Là-bas il fait plus beau
Là-bas il fait plus chaud
Mais je manque, je manque d’eau
Je rêve, je rêve trop

Pourquoi
Je ne peux plus bouger
Pourquoi
M’avez-vous attachée
Je veux danser, je veux hurler
Je vais vous tuer !

Relâchez-moi
Je ne vous vois pas
Détachez-moi
Je ne vous crois pas

Libérez-moi de votre emprise
Mon esprit est prisonnier
« Elle a encore fait une crise »
Mais dites-moi à quoi vous jouez !

J’en ai assez
D’être enfermée
Je suis brisée, peux plus penser
Je vais craquer, tout massacrer

Et si un jour
Vous me retrouvez
J’espère que vous serez arrivés
A la même conclusion que moi
Que l’Enfer n’existe pas.

( Si vous m’emmenez
Si vous m’attachez
Je ne veux plus lutter
Je suis fatiguée
Je ne rêve plus
Je suis perdue
Dans l’infinie terreur

Même si je n’ai plus peur
Plus peur de rien

Car je pars voir les étoiles
Et qu’avec elles je peux danser
Je peux hurler, je peux bouger

Je ne vous vois plus
La terre a recouvert
Mes paupières

Grâce à vous
J’ai compris
Qu’il n’y a pas de Paradis
Que tout est fini

Nous sommes finis. )



P.S : je n'aime pas du tout cette chanson, c'est la première que j'ai écrite, elle est pas aboutie, ... enfin bon, je l'aime pas, quoi !

Nicole s'envole


J’ai trouvé une guitare
Que j’ai commencer à gratter
Dès lors plus rien ne m’intéressait
Je voulais juste jouer, jouer !

Quelques temps plus tard
Je fis un étrange cauchemar
Qui me fis perdre espoir
Je n’avais plus d’inspiration
Pour écrire des chansons

Je ne savais plus quoi faire
Pour faire des affaires

Et puis j’ai rencontré
Une fée qui m’a donné
Une super bonne idée

Elle chantait dans les bois
Avec une si jolie voix
Et dans ses bras
Un petit koala

Comme si elle me connaissait
Elle m’a approché
On a commencé à parler
Et puis on s’est mis à chanter

Je lui ai dit :
« Mon amie,
Ma fée,
Mon adorée,
Viens avec moi chanter
Dans mon groupe de mecs constitué. »

Elle a sourit
Puis est partie
Son koala dans les bras
Pour réfléchir tout bas


Elle a réfléchit
Pendant 7 jours,
Pendant 7 nuits,
La nuit dansant,
Le jour rêvant…

Elle faisait tout à l’envers
Elle se traînait par terre
Les cheveux en l’air
Et la tête sous la terre

C’était sa façon à elle
De dire adieu à sa vie d’avant
Pour enfin
Qu’elle saute
A pieds joints dans un train

Et me suivre
Me suivre jusqu’au bout du chemin

C’est dans ce train
Que je me souvins… :
Son nom m’avait échappé
Et avec moi je l’avais emmenée
« Chérie, comment t’appelles-tu ?
- Nicole, ou Lulu ;
Pour toi :
Prune, Rose, Piper ou Sally …
Pourvu qu’avec toi, dans ton lit
Je parte jusqu’à la fin des nuits

Si bien qu’ainsi,
Nicole, Rose et Sally
Toutes les 3 dans mon lit
Ensemble toute la nuit

Au milieu de la nuit
Nicole s’est enfuie

Elle s’est envolée
Elle s’est fourvoyée

Plus tard dans la nuit
Rose et Sally l’ont suivi

En hommage à ma fée adorée
Ma guitare, je l’ai appelée
Nicole, elle s’est envolée …



P.S : celle-là je l'aime bien même si je suis un peu partie n'importe où, avec elle ... [ça m'étonerais pas que ce soit elle que t'aimes pas Mam'zelle ] enfin, c'est vraiment n'importe quoi, cette chanson, mais je l'aime bien ( tu vois bien que je radote, Bathorya )

Je t'aime à tout va


Si j'avais su
Tu étais si beau
Un bête jeu au départ
Teminé en un vrai cauchemar

Mais toi !
Comment peux tu encore
RESPIRER
La vie
Si belle tu me l'as
...
Ecourtée

Si j'avais su
Tu étais si beau
Une envie... une nuit
Magique...

Mais toi !
Comment peux tu encore
RESPIRER
La vie
Si belle tu me l'as
...
Massacrée

C'était l'histoire d'un soir
L'histoire d'une nuit
Une histoire qu'on a poursuivit
Toi, moi
D'espoirs en désespoirs

MENTEUR !!!

Tous mes rêves déchantés
Je me suis vu comme ça
Seul et délaissé
Mais grâce à toi je peux enfin

CRACHER MA HAINE !!!!

Trahi... Tu m'as trahi
Oh pourri... OUI
Souffre, n'en reviens pas
Pars, ne te retournes pas !!!


Je t'aime à tout va
Moi je le pensais
J'y croyais
Je t'aime à tout va
Moi je le pensais...


(Un peu culcul, pas tres mature, mais une histoire vraie, alors :p)

Bel inconnu au coeur de diamant
Soleil d'or dans mes yeux se reflétant
De mes nuits il est lune, pureté d'argent
L'émeraude de ce monde le plus brillant

Un ange

Dénommé Cupidon, Dieu de ma vie
Plongeant chaque soir dans ces écrits
M'infiltrant en lui lorsque je le lis
Ces poèmes que si facilement il bâtit

Cet ange

Qui m'apporte de nouveau un amour
Ce sentiment que j'avais tant évincé
Prince chevauchant les contrées
De mon esprit pourtant si renfermé

Bel ange

Allure divine d'une si parfaite blancheur
Donnant à mon être beaucoup de bonheur
Dans mes pensées tu es en toutes heures
Celui qui m'offrit un morceau de son coeur

Mon ange

Absent à ma vue, présent par tes mots
Ces douces rimes qui caresse ma peau
De mon existence, jamais tu ne seras de trop
Toi l'archange démuni de tout défaut

C'est toi

Mon fiancé qui sait me rendre heureuse
M'ayant transporté au plus loin des cieux
De te garder pour toujours je fais le voeu
Un rêve que je remets dans les mains de Dieu



pour le voir : http://velvet-corpse.skyblog.com/2.html

Enchainé par la vie
Petite fille pleure
Enchainé à sa maladie
Petite fille se meurt
Un cauchemard devenu realité
Elle n'a plus que ses yeux pOur pleurer
Un détail Oublié
Une vie saccagée
Une capOte percée
Un cOeur arreté


PS : Un mini texte que j'avais fait pour ( enfin contre ) [ enfin je me comprend ^^ ] sur le SIDA

PS 2 ( non pas la console ) : N'Oubliez pas , sOrtez cOuverts , le sida ( et autres MST ) tue tOujours alOrs prOtégez -vOus