Vos oeuvres écrites

C'est si mauvais que ça T_______T

M.Uttar

J'aime beaucoup ce poème, M.UTTAR,
La lecture de celui-ci à vive voix est très beau, j'aime beaucoup le rythme qu'il en dégage....
La fin contraste avec le milieu par son absence total de virgule et de moment pour la respiration.
La première fois que j'ai lu ton écrit ,j'ai fait une erreur, c'etait avec "de ce pays de pourris" au lieu de "de ce pays pourri" car cela me semblait plus facile de le lire....

Merci beaucoup Imfalling, il est vrai qu'il y a un emballement à la fin, une précipitation, un énervement.

Bonne analyse.



M.Uttar

ce que vous écrivez est très beau
je tiens un bog qui s'appelle THEGRIMGOTH, je suis actuellement en recherche d'auteurs, de poètes, qui seraient enchantés de m'offrir leurs services et leur imagination afin d'écrire de petits textes/phrases/poèmes pour accompagner les photographies que je publie : allez faire un tour, le blog ne publi aucune photos personnelles et vos écrits seront bien entendu signés de votre nom/pseudo, un lien vers un de vos site/blog sera également admis.
pour + d'info demandez moi en MP sinon allez sur le blog :


http://thegrimgoth.skyblog.com

merci à tous d'avance

j'ai vite parcouru le blog,et il me semble vraiment bien. Je vais pouvoir m'inspirere des photos pour creer mes vetemetns et puis peut etre aussi pour continuer a ecrire des textes. J'avoue que pour le moment, je n'y arrive plus, plus rien ne m'inspire, j'ai l'impression d'avoir écrit tout ce que j'avais a écrire et que maintenant, il ne me reste plus qu'a vivre.

J'aime beaucoup tes poeme M Uttar
J'ai le meme probleme que toi valanthe

Voilà deux sonnets que j'ai écrit :


Rebondissements éblouissants de son âme
Je ne connais pas son secret ni son arme
Pour que ses tâches rougeâtres disparaisent,
S'enfouissent sous le pas léger d'une caresse.

Mystérieuse âme qui transforme ses larmes d'un sort
Quelque peu mystique en divines perles d'or
Soigne les noirceurs du coeur et calme les pleurs
Grâce aux pluies d'étoiles qui nous baignent dans leur lueur.

Se dissimulant lentement telle une ombre
Elle se dérobe sous mes yeux qui la cherchent encore,
Les secondes maigrissent et mon esprit se tord.

Sous les pilliers antiques, près des porches sombres,
Elle s'engloutit dans la mer, enchaînée au mat
De ce navire angoissant qui au loin sombra.





À l'heure où le ciel pleure des cristaux blanchâtres,
Des ailes dorés pousseront dans mon dos cambré.
Il est bientôt l'heure, l'hiver n'a que trop tardé.
Le vent viendra me cueillir ; déjà j'idolâtre !

Mon cœur est emporté par la douce mélodie
Des mille croassements qui résonnent encor là bas.
Mon âme s'abandonne, engourdi par le froid,
Au supplice hivernale, sanglots de l'agonie.

Et quand mes pieds effleureront les marches de pierre,
Bientôt alors j'étoufferai dans mon linceul
Parfumé d'éternité, je languirai seule.

Et quand elles renaîtront, ses ailes de poussière,
J'irai cueillir alors, l'odeur du bois vernis,
Avant de plonger ses souvenirs dans l'oubli.


N'hésitez pas a me dire ce que vous en pensez Franchement !!

Ptit truc nul et insignifiant (comme moi), écrit pour quelqu'un :

Des épingles alignées
Des clous enfoncés
Dans cet organe
Tellement vital
Mais si glacial ...

Il est mort
Il n'est que corps
Mais rien de plus
Car il n'sait plus
Vibrer d'amour
Croire à "toujours"

Mais une flèche se plante
Ca me saigne, ça me hante!
Toi Prince aux cheveux d'or
Comment me tires tu de la mort?

Dans tes bras j'ai respiré comme jamais
Su ma peau tu as gravé
Des mots que je n'oublierais ...

Des gestes tendre
De tes yeux d'Anges.
Je t'ai laissé passer
Là ou d'autres ont échoués
Ou des âmes se sont écrasées!

Je suis désarmé
Envoûté, enchaîné!
Je me sent prêt à tout
Pour te retourner
Ce qui me rend fou
Ce que t'avoir m'a donné ...

Le poison coule en moi
Il ne s'arrêtera pas!
Je ne t'oublierais pas!
Je braverais les déserts
J'irais en enfer!
Même la Terre entière
Je la parcourerais
Si c'était ce qu'il fallait,
Pour te retrouver!

Mais je reste là
Regardant tes ailes
Te laissant à toi
Ta liberté d'être
Et d'aller
T'envoler
Dans tes contrées désirées ...

Retiens juste qu'il existe quelque part
Un prince raté et noir
Qu'un seul mot de toi
Reconduira vers toi
Si t'el est ton choix, rien ne l'arrêtera ...

Alcool
Paracetamol

Nicotine
Aspirine

Ennivrez moi
Libérez moi
Poulluez moi!

J'veux pas ouvrir mes yeux
J'veux pas être heureux
Ni malheureux!

J'veux césser
De penser!
Plus réfléchir
Juste dormir
Plâner
Rêver
Fûmer!

Les rues sont vides
La ville s'âbime!
Les ponts s'écroulent
Liberté s'éboule!
L'amour sur les tois
Des maisons en ruine
Arrondissement d'émois
Noyés dans l'aspirine!

Refrain:
Alcool
Paracetamol

Nicotine
Aspirine

Ennivrez moi
Libérez moi
Poulluez moi!


On a mal
On a plus
Droits aux âmes
Yen a plus
Qui savent
Etre libre
Etre îvre

Trop de lois
Limitent le poison
de la libération
de nos moi!

Refrain :

Alcool
Paracetamol

Nicotine
Aspirine

Ennivrez moi
Libérez moi
Poulluez moi!


Et embrasser un roï
En étant un prince
Et te toucher toi
Devent des beaufs qui pincent
Leurs lèvres de frustrés
De gens si parfait ...

Beaux textes j'aime beaucoup celui de clarimonde et ton dernier Lux

Allez je vous en livre un petit (j'écris des tonnes de trucs)

"Il est temps"


A l'heure où des bois noirs surgit le chant des loups

Et quand ma rêverie lentement s'achemine

Vers le coeur hasardeux de quelque horizon flou

J'irai te retrouver où la Nuit s'illumine



Et vain sera l'espoir de m'arracher à toi

Parmi les nuées blanches où nos âmes vacilleront

Anéantis les pleurs la douleur et la foi

Les pensées inutiles pour un temps s'en iront



Des corps fragiles et purs jaillira la couleur

D'esprits mûrs et nourris endormis si longtemps

Dans le triste et perfide maëlstrom de nos peurs

Habilement cachées par l'ivresse et le Temps



Des yeux évanouis surgiront des éclairs

Mus par la volonté du désir éternel

Les paupières agitées s'ouvriront pâles et fières

Sur l'eden de ton corps brillera l'étincelle



Tu riras tout ton saoûl et pleurera encore

Ces instants quand ta silouhette sera voûtée

Tu diras " J'étais fou mais si loin de la Mort

Enfant régénéré par le feu des baisers ! "



Allez viens il est temps nous partons pour ce jour

Ce rêve de Vénus mère des franches passions

Allongée ô ma Reine fais donc choir de sa tour

La douleur triomphante si la réponse est non

Ton texte est superbe, si tu souhaites en livrer d'autres n'hésite surtout pas.

Mademoiselle & Moi


Mademoiselle, venez, venez, entrez, regardez.
Que voyez vous ? Oh oui, misérable petite vie.
Fantastique n’est ce pas ? Famine, guerre, pauvreté.
Mademoiselle ne vous étonnez vous pas ? Non ?
Cher petit cœur, étonnez vous ! Le monde meurtrier.
Dans mes bras, dans mes bras, n’ayez crainte.
Voyez la triste déchéance des peuples entiers.
Domptez moi ma chère, je suis à vous.
Contemplons ensemble leur descente amorcée.
Ah ma douce, vous êtes si bonne, trop ?
Admirez la politique et ses tactiques dépassées,
Admirez ce pouvoir né dans le sang d’antan.
Mademoiselle, je vous aime, laissons les s’écrouler.
Vous et moi, un autre monde nous attends.

Allez venez Milord,
vous asseoir à ma table,
il fait si froid dehors,
ici c'est comfortable,

Allez venez Milord,
vous faire mettre à ma table,
j'suis pas une fille du port,
ni une prostituée,
je suis un prédateur,
et vous êtes le gibier,

Laissez vous faire Milord,
un petit doigt derrière,
c'est pour vous dilater,

Mais vous pleurez Milord ?
ça fait toujours un peu mal,
un dépucelage anal.

(amis de la poésie bonjour)

Ouhaaa mais tu t'es laché la, quel prouesse intellectuel, quel massacre pour une chanson qui mérite un temps soit peu de respect.

Pour un soit disant responsable du forum, ça fait assez peur. . .

Il n'y a pas assez de MERDE ici pour en rajouter encore ? ? ? visiblement non.

Quelle belle réflexion.

[edit Azhael] : si c'est juste pour critiquer les autres, abstiens toi, tu gagnera du temps. et si mon humour ne te plaît pas, tant pis.

Je les laisse me corrompre.
Leur poison s'insinue dans mes veines.
Je les laisse, je me trompe.
Leur passion n'est que vaine.
Petit à petit ça me ronge, pénètrant au profond de mon âme.
Les belles paroles transpercent mon coeur comme autant de lames.
Je me laisse, m'abandonne à des étreintes mécaniques.
Remplir le manque, c'est tout, médication du nostalgique.
L'envie du bonheur est devenue dépendance.
Shoot de simulacres sentimentaux. J'suis en transe.
Fix à l'endorphine quand le désir explose.
Bad trip quand ça se termine, mon coeur implose.
Pauvre petit garçon ne vivant que dans l'illusion.
Pauvre petit con ne vivant que par procuration.
Mon pays imaginaire s'effondre, j'ouvre les yeux
Tout n'est que mensonges, tristes sont les cieux
La poudre de fée ne me fait plus d'effet.
La descente est vertigineuse, prostré et défait.
Tic Tac, tic tac. Est ce le capitaine crochet ?
Tic tac , tic tac. Pire, un monstre que je connais.
Celui du temps qui passe, tout cela me dépasse
Mon étincelle s'est consumée, je suis devenu froid.
Du métal
Plus d'étincelle pour me réchauffer, c'est fini cette fois.
Etat Lethal.

Mikhael.

bah pour ma part tous mes écrits sont sur mon blog myspace (myspace.com/yataaaaaaaaaaa) ,c'est gothique si on veut (triste,noir mais poétique). Petit extrait :


au fond du gouffre


Toi,très cher ami,prête moi tes mains

Et fais moi que du mal , que du mal

Car je ne suis pas bien

Mieux que ca ,je ne suis rien

Une chose et un être insignifiant

Je ne fais juste que te prendre trop de temps

Ne te soucie plus de moi

Tue moi à petit feu

Ou d'un grand coup dans mon coeur déjà meurtri

Comme tu veut

Tu as le choix des armes

Je te donne mon âme

Qui brûle déjà au milieu des flammes

Je suis au fond du gouffre

Plus aucun souffle

Je saigne et sème mon bonheur passé

Tiens,une flaque d'eau

Elle est glacée

Je plonge mon corps en lambeaux

Au fur et à mesure

La démesure

Je meurs seul et sans encombre

Dans les décombres

De ma courte vie

Au revoir mon ami

A SAVOIR: je ne vise aucun membre du site XDDD
Et soyez indulgents, je viens de le créer ce texte ;_ ;


L'onyx et le cristal ~



L'onyx de l'ombre surgit,
Sombre comme l'orage,
Démon de suie;

Le cristal quant a lui d'un rayon lumineux,
Sors de sa cachette rayonnante,
Et alume d'un brin joyeux,
L'âme noire et bedonnante.

Dame Onyx qui en fut intriguée,
Voulu savoir ce qu'était ce chaos de lumiére,
Quand Sieur Cristal lui dis d'une vois flutée:

"Ma chère amie il ya longtemps que mes yeux sont attirés ,
Par cet être magnifique que vous incarnez,
Acceptez un gage de mon amour en toute loyauté,
Acceptez cette seule rose que je puisse vous donner.

Sieur Cristal d'un rayon prolongé,
Caressa la peau sombre et ravagée,
"Ne pleure plus ma douce reine,
Ton roi est ,là il t'apporte l'Eden,
Que tes souffrances soit oubliées,

Par cet ésprit laid et déprimé,
Devient mon âme et ma moitié,
Soit sur d'être en retour,
Aimée comme on ne la jamais été."

L'onyx s'en alluma de plaisir,
Promis sont amour a ce cristal ideal
Ils s'envolèrent alors dans les cieux du désir
Et la rose devint poussière mais sans perdre ses pétales.

Envoûté dans le psyché
Je suis détourné
Pas ici pour vous plaire
Je suis sanguinaire
Ce soir sur le bûché
Je vous maudirais

Ecoutez moi rire en brûlant

Doutez de ma morale
Je suis un chacal
Vérifiez vos arrières
Je suis une chimère


Vilains villageois
vous allez regretter ça
Mon âme carbonisée
Reste vous torturer
Priez votre seigneur
Rien ne pourras vous sauver
Priez par peur
ça va saigner

La sécheresse qui s'installe
Les épidémies en rafales
La guerre et la misère
La vermine qui prolifère
L'Egypte parais bien tranquille
Face au plaies qui défilent
La chair et le sang
en guise de calmants
1300 habitants
femmes pères et enfants
sont condamnés éternellement

Vilains villageois
vous allez regretter ça
Mon âme carbonisée
Reste vous torturer
Priez votre seigneur
Rien ne pourras vous sauver
Priez par peur
ça va saigner

Si un jour en vous promenant
Vous entendez des hurlements
et qu'une odeurs immonde
vous rappel celle du sang
Faites demi tours
Car vous approcherez l'enfers
Ou les vilains villageois ....
A l'infinie